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Faire bouger ses salariés à moindres frais !

Les salariés désireux de faire du sport au travail sont finalement peu à le faire : absence d’intérêt, manque de temps, coût ou encore absences d’infrastructure sont autant de freins empêchant de passer de la déclaration d’intention à l’action.


Pourtant, pour les salariés pouvant pratiquer du sport au travail, la pratique d’une activité sportive contribuerait à l’amélioration du bien-être des salariés et une meilleure gestion du stress (89%), à l’influence bénéfique sur l’esprit d’équipe et l’intégration des nouveaux (87%) et à la création d’une dynamique entrepreneuriale et l’amélioration de la productivité des salariés (65%) (enquête « Etat des lieux, freins et leviers au développement de la pratique du sport en entreprise. Etude miroir salariés-dirigeants » - Opinion Way, 2018)


Au regard d’un tel plébiscite, il pourrait être intéressant de se pencher sur cette proposition, peu présente aujourd’hui dans les entreprises (7% des entreprises la pratique) mais plébiscitée, surtout par les jeunes et les cadres (étude « Les salariés et le sport en entreprise », 2020).



Pour encourager les entreprises qui souhaiteraient s'engager dans cette voie, un décret du 28 mai dernier prévoit que les avantages relatifs à la pratique du sport en entreprise pourront être exclus de l'assiette des cotisations sociales.


La proposition de l’entreprise peut se décliner de plusieurs façons, que ce soit par la mise à disposition d’une salle de sport, la location d’un espace aux fins d’une pratique d’activité physique ou le financement de cours collectifs, d’évènements ou compétitions de nature sportive.


L’avantage ainsi consenti était jusqu’alors un avantage en nature. Depuis le 31 mai 2021 , la participation de l’entreprise sera exonérée de charges sociales dans la limite annuelle de 5% du PMSS (171€ pour 2021) multiplié par l’effectif de l’entreprise.

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